REGIS DE CASTELNAU
Rubrique : obus de mortier.
J’ai publié une connerie hier matin à propos de la ressemblance photographique entre Alexis Corbières et Al Capone. Je n’avais pas regardé Zemmour chez Hanouna, faut pas déconner. Je n’étais par conséquent absolument pas au courant de la piètre prestation de Corbières se faisant ramasser par un gamin. Pas plus que de l’éructante réaction de Raquel Garrido se donnant en spectacle, avec sa vulgarité en étendard.
Donc je confirme pour commencer que la mention de la gémellité photographique entre Corbières et Capone n’avait aucune espèce d’arrière-pensée politique, c’était juste une pitrerie.
Dans la petite bande qui tourne autour de Mélenchon, en rêvant de prendre la place du calife le moment venu, Corbières n’est pas le plus désagréable. Mais, ce qui est accablant c’est moins le spectacle des peu surprenants emportements d’une Garrido, véritable et permanent désastre ambulant, que la grotesque tentative de victimisation, immédiatement soutenue par le petit timonier.
Le couple prend une rouste méritée sur les réseaux, et passe un moment désagréable. Le mieux aurait été de rentrer la tête dans les épaules et de faire le gros dos en rasant les murs pendant 48 heures. Et tout le monde serait passé à autre chose. Au lieu de ça un ouin ouin en mode no pasaran « comment que les fascistes sont pas trop méchants qui font rien qu’à nous lyncher ».
Et Mélenchon de renchérir en mode « les nazis sont aux portes ». Au lieu de faire intelligemment de la politique, et de travailler à dézinguer l’opération Taubira.