Centres d’hébergements
15 000 vacanciers surpris surpris par la neige ?
qui paie l’hébergement ?
La solidarité c’est même pour ceux qui ont les moyens de partir faire du ski en Savoie
tout le monde trouve ça normal d’aider son prochain c’est ça la République !
sauf quand il est pauvre chômeur SDF
15 000 vacanciers enneigés pauvres pauvres vacanciers meurtris dans leur chair par cette sale neige d’hiver !
Combien de pauvres endeuillés ?
Pauvres pauvres chômeurs SDF jamais partis en vacances meurtris dans leur chair par l’abandon de la société !
la solidarité ne vaut que si elle est partagée par tous ?
Partager ah pas de gros mots hein !
Je me disais que les impôts n’avaient pas assez grevé les budgets puisqu’il y a encore des gens pour pratiquer des loisirs aussi onéreux que la salissure de la neige sous toutes ses formes.
Dernière publication sur le radeau du radotage : TRANSFERT
oui il semblerait bien !
A la rue
Notre vision le bouleverse à terre,
Il est perdu, seul, en manque, amer,
Et tente en buvant sans verre,
De se rassurer au sein de sa mère !
Il voudrait nous oublier dans le fluide,
Naviguer en liberté sur les océans,
Mais en absorbant tant de liquide,
C’est sur le sol qu’il tangue céans !
Il s’imagine sur grand navire,
Affrontant le temps à forcir,
Mais à chaque lampée qui chavire,
Sa barque menace de sancir !
Au lieu de se mettre à la cape,
Il boit encore comme enfant tête,
Puis souille ses mauvaises sapes
En tombant cul par dessus tête !
Il gueule qu’il n’en à rien à foutre !
Et se relève pour reboire comme outre,
Et vomir dans sa mauvaise cure,
Notre indifférence lourde comme biture.
Combien lui faudra-t-il boire,
Dans quelle misère ira- t’il se perdre,
Pour cacher dans ses déboires,
Que notre regard l’em… ?
A la rue
Notre vision le bouleverse à terre,
Il est perdu, seul, en manque, amer,
Et tente en buvant sans verre,
De se rassurer au sein de sa mère !
Il voudrait nous oublier dans le fluide,
Naviguer en liberté sur les océans,
Mais en absorbant tant de liquide,
C’est sur le sol qu’il tangue céans !
Il s’imagine sur grand navire,
Affrontant le temps à forcir,
Mais à chaque lampée qui chavire,
Sa barque menace de sancir !
Au lieu de se mettre à la cape,
Il boit encore comme enfant tête,
Puis souille ses mauvaises sapes
En tombant cul par dessus tête !
Il gueule qu’il n’en à rien à foutre !
Et se relève pour reboire comme outre,
Et vomir dans sa mauvaise cure,
Notre indifférence lourde comme biture.
Combien lui faudra-t-il boire,
Dans quelle misère ira- t’il se perdre,
Pour cacher dans ses déboires,
Que notre regard l’em… ?
A la rue
Notre vision le bouleverse à terre,
Il est perdu, seul, en manque, amer,
Et tente en buvant sans verre,
De se rassurer au sein de sa mère !
Il voudrait nous oublier dans le fluide,
Naviguer en liberté sur les océans,
Mais en absorbant tant de liquide,
C’est sur le sol qu’il tangue céans !
Il s’imagine sur grand navire,
Affrontant le temps à forcir,
Mais à chaque lampée qui chavire,
Sa barque menace de sancir !
Au lieu de se mettre à la cape,
Il boit encore comme enfant tête,
Puis souille ses mauvaises sapes
En tombant cul par dessus tête !
Il gueule qu’il n’en à rien à foutre !
Et se relève pour reboire comme outre,
Et vomir dans sa mauvaise cure,
Notre indifférence lourde comme biture.
Combien lui faudra-t-il boire,
Dans quelle misère ira- t’il se perdre,
Pour cacher dans ses déboires,
Que notre regard l’em… ?